1/5 En 1968, à New York, éclate une grève des éboueurs pour demander une revalorisation salariale, la création d’un syndicat et la fin de la ségrégation raciale.
Face au refus des autorités, des milliers de tonnes de déchets ont commencé à s’accumuler chaque jour. 🧵 pic.twitter.com/qHo5N09LkP
— Mathieu Kerbouche (@KerboucheMath) March 12, 2023
2/5 Très vite New York est dépassée.
En moins de 10 jours, la Ville déclare l’état d’urgence et cède aux revendications des grévistes ✊
L’historien R.Bregman montre qu’aucune grève d’influenceurs marketing, avocats fiscalistes etc n’entraînerait une telle paralysie.
— Mathieu Kerbouche (@KerboucheMath) March 12, 2023
3/5 Bregman nous prend l’exemple de la grève des banquiers en Irlande en 1970.
Elle a duré 20 fois plus longtemps que la grève des éboueurs 2 ans plus tôt.. aucune mesure d’urgence n’a pourtant été adoptée et les gens ont pu s’adapter un temps en créant des monnaies temporaires pic.twitter.com/HkwKqvj08l
— Mathieu Kerbouche (@KerboucheMath) March 12, 2023
4/5 Derrière son analogie, Bregman nous pousse à repenser ce qu’est le travail, la plupart des emplois essentiels créateur de richesses infirmier•es, éboueur•euses, prof sont en fait négligés au détriment de « bullshitjobs ».
— Mathieu Kerbouche (@KerboucheMath) March 12, 2023
5/5 En pleine grève des éboueur•euses, plus que jamais nous devons rappeler notre soutien à ces professions essentielles, si peu valorisées qui savent la pénibilité de travailler jusqu’à 64ans. ✊#Retraitea60ans https://t.co/8moSZaLRVj
— Mathieu Kerbouche (@KerboucheMath) March 12, 2023